Desperado (Olympia 1983) - Gilbert Bécaud (吉尔·伯特)
Dans des spasmes de néon
Pleure un bandonéon
Ses larmes de tango
Et ma chambre a pris la mer
Jéchoue à buesnos aires
Largué par un cargo
Sur le boulevard du rhum
Ca tangue un maximum
La rade est un radeau
Jai le c ur vitriolé
La nuit ma fusillé
Dune balle dans la peau
Et je me sens
Desperado
Dans mon verre de brandy
Jentends des mariachis
Qui jouent avec ma mort
Et je dans avec la haine
Des valses mexicaines
Où je tinvite encore
Qui va tuer pancho villa
La fille qui sen va
Ou le combat de trop
Cest souvent pour une putain
Quaux portes du matin
Pleure le guerillero
Et je me sens
Desperado
Je suis seul et je suis nu
Labsence est revenue
Têtue comme un fado
Comme après le carnaval
Le grand soleil fait mal
Même au corcovado
Oui je me sens
Desperado